Le but de l'atelier est de travailler sur la réalité des personnes migrantes et sans-papiers.
Liège est devenu la plus grande ville hospitalière. Ils présentaient les thématiques, ils cherchaient de la documentation, ils discutaient autour de la déclaration universelle des droits de l'homme mais ce qui les intéressait le plus, c'est la rencontre avec l'humain. Ils ont fait un micro-trottoir où ils questionnaient les gens sur leur impression par rapport à la migration. Ils ont accueilli des sans-papiers qui leur ont raconté leur histoire, ils ont vécu des choses horribles. C'était un très beau moment de partage, très costaud émotionnellement. Ils sont allés visiter un centre croix-rouge, là où les demandeurs d'asile sont logés en attendant d'être reconnus par la Belgique pour pouvoir vivre loin des dangers qui les menacent. Les réfugiés et sans-papiers risquent d'être arrêtés par la police et d'être emmené dans un centre fermé pour les renvoyer dans leur pays d'origine. On fait tout pour empêcher ça. |